Depuis la métropole, la forêt guyanaise apparaît comme une véritable ressource économique. Se rendre sur place permet toutefois de mesurer toute la complexité que présente son exploitation, ne serait-ce qu'en raison du nombre d'essences qui y sont présentes, et qui dépasse sans doute largement le nombre des essences présentes en métropole.
Pour autant, 5 grumes à l'hectare doivent être exploitées, et un objectif ambitieux de multiplication par trois du volume de cette exploitation a été fixé. Comment pensez-vous atteindre cet objectif, avec des effectifs constants ? Comptez-vous sur une amélioration des méthodes, etc. ?
La question de l'orpaillage en Guyane constitue avant tout une question économique, et il est important de connaître l'environnement économique dans lequel elle s'inscrit.