Je reprendrais nombre de points que vous proposez, puisque j'ai présidé cette instance très active, mais qui n'a pas d'existence officielle.
La plupart de la trentaine de plans sectoriels existants bénéficient de sommes considérables, comme le plan contre l'autisme avec 400 millions d'euros, alors que seuls 40 millions d'euros sont affectés au plan nutrition santé. Nous n'avons jamais réellement obtenu l'explication de ces disparités. Chaque thématique ayant le vent en poupe fait l'objet d'un plan sectoriel et d'injection financière sans interrogation préalable sur les interconnexions avec les autres plans existants ni sur la cohérence globale du système.
Quid de ces plans silos ? Comment les repositionnez-vous par rapport à cette méthodologie et ce brouillon de réorganisation que vous venez d'exposer ?