Cela est d'autant plus vrai que l'agriculture bio représente actuellement 8 à 9 % de la production agricole.
Pour revenir sur le plan Écophyto, nous avons entendu des analyses très différentes au cours des auditions. Nous avons entendu une personne auditionnée nous dire qu'Écophyto est un échec, et un représentant de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA) nous a dit qu'il s'agit peut-être plutôt d'une semi-réussite que d'un échec complet. Vous nous avez expliqué les raisons pour lesquelles nous sommes au milieu du gué. Que faudrait-il pour renforcer le plan Écophyto ? Les sommes engagées sont considérables. Par rapport à votre pratique dans le Grand Est, que pourriez-vous proposer à l'échelle nationale pour que ce plan soit plus performant ?