Êtes-vous prêt, en tant que ministre des solidarités et de la santé, à défendre la possibilité de disposer d'une marge d'autonomie par rapport au cadre européen en matière d'autorisation de mise sur le marché des produits chimiques ?
Quelle est votre position sur le principe de précaution ? Que pensez-vous de l'objectif de sobriété chimique, qui va parfois à l'encontre des intérêts économiques de notre pays, notamment ceux de l'industrie agroalimentaire et de l'industrie de la chimie, en particulier du médicament ?