De mes échanges avec les parlementaires d'Europe centrale et des pays baltes, il ressort que le message du Président de la République sur la mise en difficulté de l'OTAN par la Turquie est parfaitement compris. Ils ont pu voir, au sommet de Londres des 4 et 5 décembre, que c'est la Turquie qui a bloqué un certain nombre de mesures les concernant. Le dialogue est donc possible et les points de convergence aussi.