La France, co-présidente du groupe de Minsk, n'avait d'autre choix que d'afficher une certaine neutralité. Cependant, certaines neutralités en temps de guerre peuvent s'apparenter à une prime accordée à l'agresseur et tel n'a pas été le cas, en l'espèce. Les déclarations de M. Emmanuel Macron, qualifiant et désignant certains faits sans pour autant se départir d'une neutralité de jugement, ont montré que la France n'était pas naïve.