Les enfants ont été parmi les premières victimes du conflit, certains sont même morts. Dans la situation présente, nous ne parlons même plus de scolarité ni de logement décent, mais de survie, de retour à des conditions élémentaires d'existence.
Beaucoup d'enfants du Haut-Karabakh ont subi la guerre en vivant, depuis les sous-sols, sous les bombardements. Ils ont vécu les aspects sales de ce conflit et leurs conditions de vie restent extrêmement précaires. Dans ces circonstances, la scolarité et le retour à une vie décente relèvent du rêve pour ces enfants.