Sauf que, dans le cas de la Géorgie, les tensions observées ne sont pas nées avec le dernier scrutin législatif ; elles existaient auparavant et j'avais pu m'en rendre compte lors d'un déplacement là-bas en ma qualité de co-rapporteur sur ce pays. Il s'agit d'un État dans lequel l'opposition refuse de siéger au Parlement de longue date. Au demeurant, l'annulation de la mission post-électorale a le mérite de se traduire par des économies pour l'Assemblée parlementaire.