Si on ne fait pas appel aux banques, c'est parce que – et vous auriez été les premiers à nous le reprocher – les banques risqueraient de le facturer aux usagers. Vos propositions sont donc contradictoires.
Deuxièmement, je voudrais dire au président Woerth – mais c'était sans doute un argument de tribune – qu'il ne faut pas s'inquiéter : l'administration fiscale est bien commandée par un ministre et plus largement par un Gouvernement. Elle ne crée pas ses propres lois dans un coin, qui viendraient s'imposer aux ministres.