Vous avez présenté tous les programmes et dispositifs auxquels contribue la CDC, en insistant sur une vision à long terme, logique qu'il faut continuer à privilégier selon nous.
Il est un peu tôt, avez-vous dit, pour nous présenter les résultats du groupe en 2021. Le résultat de la section générale s'est établi à 2,056 milliards en 2019 et à 566 millions en 2020. Peut-être êtes-vous en mesure de nous dire s'il se situe en 2021 dans la tranche basse ou dans la tranche haute ? Cette question est liée à celle qu'a posée le rapporteur général sur les dividendes et la contribution versée à l'État.
Vous avez évoqué un programme d'achat d'actions de sociétés françaises, pour 1,6 milliard, et de dettes financières, pour 8 milliards. Dans quels types d'activités et d'entreprises avez-vous investi de la sorte ?
La CDC a une doctrine et des outils : Bpifrance pour les entreprises, la Banque des territoires pour les collectivités, La Poste et CNP Assurances pour la population. Le moment n'est-il pas venu de vous doter d'un quatrième outil, pour les associations, véritable pilier de la vie locale ? Elles rencontrent des difficultés croissantes, notamment en matière de trésorerie.
Nous sommes globalement satisfaits de l'action menée par la CDC dans les territoires, à travers des programmes publics et l'accompagnement des entreprises. Il faut continuer sur cette lancée et nous vous soutenons avec force à cet égard.