J'ai essayé dès le départ de faire preuve de pédagogie en décrivant les deux cas de réduction de peine : nous visons la seule réduction automatique. Pourquoi ? Parce que nous visons l'effectivité – et non la dureté – de la sanction pénale une fois qu'elle est prononcée. Il ne saurait être question, tant pour nous, législateurs, que pour la justice, d'un quelconque esprit de revanche ou de vengeance : nous sommes en train de faire la loi, et de faire en sorte de protéger ceux qui nous protègent.