Après le 1er juin, on devrait assister à une multiplication des déplacements estivaux qui risquent de fragiliser des territoires qui ne sont pas les mieux armés pour faire face à d'éventuelles reprises épidémiques. L'application de cette disposition n'a pas été nécessaire l'été dernier ; nous pouvons espérer qu'il en ira de même l'été prochain. Je vous rappelle que nous n'adoptons qu'un cadre législatif et que l'ensemble des mesures, y compris d'interdiction, qui pourront être prises à l'intérieur de celui-ci devront être strictement proportionnées à la situation sanitaire. Avis défavorable.