Cet amendement tend à créer, dans une logique de partenariat, un régime de convention qui permettrait à l'État de confier à une collectivité territoriale ou à un groupement de collectivités territoriales tout ou partie de l'aménagement, de l'exploitation et de l'entretien du domaine public fluvial. Ce faisant, ce régime offrirait une alternative au transfert de propriété. L'État resterait propriétaire de la voie d'eau et les collectivités prendraient une part active à la valorisation du domaine.