a souligné que le choix opéré par l'État de maintenir les exécutifs en fonction relève d'une préoccupation d'efficacité opérationnelle. Les élus en place, même s'ils ont été battus ou n'ont pas souhaité se représenter, sont les mieux à même de faire fonctionner les procédures et les services pendant cette période de crise. Au-delà des questions de légitimité, le choix a été fait de disposer d'exécutifs immédiatement opérationnels sachant que seuls 165 conseils sont complets après le premier tour.