Vous nous avez parlé de ce qui avait bien ou peut-être moins bien fonctionné durant cette crise, dont il faut tout de même dire qu'elle est exceptionnelle. Personnellement, en quarante-cinq ans de pratique médicale, je n'en ai jamais connu de telle.
Sommes-nous prêts pour cette éventuelle deuxième vague dont on parle beaucoup ? Sinon, que faudrait-il faire d'urgence ?
Vous évoquiez des décisions tardives : c'est une constatation a posteriori, et on est toujours plus intelligent après coup ; cela s'appelle l'expérience. Mais à l'époque, compte tenu de ce que vous saviez des dispositifs et du virus, avez-vous pensé que les décisions étaient prises tardivement ?