Monsieur le ministre d'État, monsieur le rapporteur, je suis surpris de la tournure prise par ce débat. J'ai été élu député, non pas de la commission des affaires étrangères, mais de la République française et, à ce titre, j'envisage d'élaborer la loi dans cet hémicycle. Je ne suis pas membre de la commission des lois, mais je viens dans l'hémicycle pour travailler sur le texte. Il y a un minimum de correction à avoir. Il convient que tous les députés soient informés, pas seulement ceux de la commission, et que l'on nous donne des arguments en réponse aux amendements déposés ; sinon, ce n'est pas la peine de venir travailler ici.