Loin d'être libertarien, cet amendement se veut opérationnel. Les écoles pilotées depuis l'étranger, valorisant une langue et une culture étrangères et mettant en contact leurs élèves avec des interlocuteurs dont les propos ou les actes ont été jugés contraires à l'ordre public ne doivent pas passer sous contrat. Pour lutter contre les séparatismes, il faut adopter des mesures ciblées et non s'en prendre à toutes les formes d'éducation qui n'entrent pas dans l'enseignement public.