Vous passez votre temps à dire qu'il n'y a pas de chiffres, mais vous en avez cité vous-même. Des chiffres figurent d'ailleurs dans l'étude d'impact. Au demeurant, chaque fois que nous vous en communiquons, vous les contestez.
Vous indiquez à juste titre qu'en France, l'école est la règle, et l'instruction en famille, l'exception. C'est effectivement ce que montrent les chiffres. Mais vous direz peut-être le contraire plus tard…
J'émets un avis défavorable sur les sous-amendements.