Je ne peux pas accepter que se répète ce que nous avons vécu cette année, à savoir un tirage au sort dans 200 licences. Il n'est pas possible d'attendre, car nous sommes dans une situation d'urgence. Au nom du groupe MODEM, je ne peux pas, bien sûr, m'associer une minute à cette motion de rejet. J'en suis tout à fait désolé, parce que je ne comprends pas vos arguments, monsieur Hetzel, et vous qui êtes universitaire, je n'aimerais pas, à votre place, croiser vos étudiants demain.