Je comprends que le consortium n'est pas forcément la solution la plus simple ; l'allotissement l'est bien davantage.
Vous employez, depuis le début de l'audition, le terme d'« écosystème ». Pensez-vous que les start-up et les entreprises du numérique ont aujourd'hui la capacité de discuter entre elles de leurs innovations et de leurs orientations, qu'elles s'entraînent mutuellement pour aller plus loin, pour créer une émulation ? Les écosystèmes accueillent-il des discussions qui permettent une mobilisation globale ? Ou, au contraire, le secteur fonctionne-t-il avec des entreprises indépendantes qui protègent leurs activités individuelles ? En bref, pourrait-on facilement atteindre l'interopérabilité ?