Pour en revenir au transport, nous avons parlé de trains à hydrogène et de voitures électriques. Certains constructeurs, comme Renault, partent vers le tout-électrique, d'autres, comme Toyota, envisagent aussi des voitures à hydrogène. Pour la puissance nécessaire aux tracteurs ou aux camions, on parle plutôt de gaz naturel pour véhicules (GNV). Quid de l'éthanol ? Quid du diester ? Bien d'autres solutions encore sont possibles. Ce foisonnement de solutions peut aussi être un frein pour les industriels, pour savoir dans quelle direction s'investir. Certains ont fait des choix, d'autres n'en font pas. Mais ne pas choisir, c'est prendre le risque de se retrouver avec une offre d'infrastructures en stations-service pléthorique, voire de n'en avoir aucune.
Voilà pour ce qui est du domaine terrestre. Quant au domaine maritime, nous ne voyons pas grand-chose se dessiner. On parle d'un bateau autonome, hydrogène, solaire et éolien. Mais à ce jour, on ne voit pas grand-chose pour remplacer la masse de diesels maritimes.
Comment envisagez-vous les perspectives futures d'énergie relatives à la mobilité ?