Je voulais remercier nos deux rapporteurs pour leur travail réalisé sur un problème sensible et très particulier.
Je souhaitais revenir sur le cas particulier des côtes du Nord-Pas-de-Calais. Les migrants qui s'y trouvent veulent à tout prix aller en Grande-Bretagne. Nous avons beau les héberger, leur seul but est de se rendre de l'autre côté de la Manche. Après avoir fait des milliers de kilomètres et vécu les pires choses, ils lancent un dé.
Je pense donc qu'il faudrait essayer d'avoir des négociations particulières avec la Grande Bretagne et ajouter un quatrième pilier aux trois piliers dont avaient parlé MM. Pierre‑Henri Dumont et Pieyre-Alexandre Anglade dans les négociations. Les négociations ne seront pas faciles compte tenu de ce que nous savons de la Grande Bretagne et de son Premier ministre et que l'on voit ce qu'il s'est passé pour le Brexit et pour la pêche.
Je pense toutefois qu'il faut une solution particulière pour cette côte, car il s'agit de gens à la situation très particulière, qui ne veulent malheureusement pas être chez nous, mais qu'il faudrait absolument aider.