Je crois déjà avoir eu l'honneur, monsieur Aubert, de vous dire que vous confondez l'intention et le travail probatoire qui appartient au juge. Vous ne voulez pas l'entendre.
Ce que vous voudriez – et vous devriez en assumer la responsabilité – c'est que l'on condamne cet homme pour le crime principal, et vous franchiriez alors une ligne rouge que nous n'avons pas souhaité franchir : celle de la responsabilité pénale de gens dont le discernement est aboli.