Totalement défavorable. Nous avons déjà longuement discuté de cette question hier : on ne peut pas comparer l'acte, positif, qui consiste à prendre des substances psychoactives avec un acte d'omission. Que fait-on de la personne qui arrête son traitement parce qu'elle n'en supporte plus les effets secondaires ? Telle est l'une des innombrables questions que pose cet amendement.