Je ne peux que réagir aux propos de Mme Obono. Vous agitez de grands concepts et de beaux principes : tout de suite, il est question de politique répressive alors que nous parlons de faits.
Vous parlez d'« obsession pour un outil défaillant », mais ce n'est pas du tout ce que j'entends sur le terrain ! Cela a déjà été souligné tout à l'heure, les magistrats ont besoin de ces tests ! Les procureurs, que je rencontre très régulièrement, me disent qu'ils sont démunis et qu'ils voudraient pouvoir utiliser davantage cette méthode.
M. le rapporteur en a rappelé les limites, mais nous en avons besoin. Cessons de dire qu'il faut abandonner cet outil !