Le ministre de l'intérieur a tout dit. Monsieur Bernalicis, c'est formidable, nous reprenons la séance comme nous l'avons quittée. Pour vous tout est parfait, tout va bien. Que vous doutiez de l'efficacité de la mesure, soit, mais comment discuter lorsque vous parlez tout de suite de « populisme pénal » ?
Une fois encore, revenons au terrain. Nos forces de l'ordre le disent, et cela a été rappelé au moins deux fois : il y a un refus d'obtempérer toutes les dix-sept minutes. Cela met en danger nos forces de l'ordre, mais aussi nos concitoyens. Quand on n'a rien à se reprocher, on obtempère et on s'arrête, tout simplement. Il faut donc agir, et je suis persuadée que cet article le permet.