Le fait est tout simplement que cet article 5 est réclamé par tous les policiers, tous les gendarmes, tous les douaniers, mais également, monsieur Bernalicis, par une très grande majorité d'élus locaux. C'est du bon sens : une voiture doit s'arrêter, si un policier ou un gendarme le demande. Car une voiture, cela peut tuer, et cela tue tous les jours – je m'excuse pour cette vérité de La Palice, mais c'est à ce prix qu'on peut se faire entendre dans cet hémicycle.