Puisque le ministre de l'intérieur reconnaît les mérites de certains maires issus de ma famille politique, je me permets de rappeler que nous avions déposé dans le cadre de ce débat un amendement sur la vidéoprotection, qui a malheureusement été jugé irrecevable – mais je ne reprendrai pas notre débat d'hier sur la question du droit d'amendement.
En la matière, une des façons de s'en sortir consiste peut-être comme à Paris, ville où je suis élue, de créer un comité d'éthique de la vidéoprotection. Il réunit des gens de très grande qualité, sous la présidence d'un magistrat, en l'occurrence Christian Vigouroux, ce qui permet d'avoir des discussions extrêmement claires.