Ces amendements identiques sont le fruit du travail collectif mené en commission ainsi que des travaux préalables à cette discussion. Comme M. le secrétaire d'État l'a souligné, ils sont l'occasion de rappeler que, si le juge des enfants est bien le premier défenseur des enfants et de l'intérêt général de l'enfant, lui permettre d'avoir recours le cas échéant au concours d'un avocat a du sens.
Monsieur le secrétaire d'État, nous nous réjouissons de la traduction dans ce projet de loi de votre engagement à nous accompagner pour aboutir dans ce texte à une réécriture efficace de l'article 375-1 du code civil.