…ce que nous avions compris depuis longtemps. Sans doute voulait-il accélérer les choses, mais cela n'est pas possible lorsque nous sommes réunis au coup par coup. C'est précisément ce que nous vous reprochons : ne pas avoir de clause de revoyure, ne pas pouvoir nous retrouver pour débattre, sauf sous la pression des événements.
Il faut pour nous réunir qu'il y ait une quatrième vague, avant elle une troisième vague, et encore avant ce que d'aucuns avaient qualifié de seconde vague – manque de chance, il ne s'agissait pas d'une seconde mais d'une deuxième vague ! Il suffirait pourtant de prévoir de nous retrouver tous les trois mois – cela contribuerait à apaiser nos débats. Nous perdrions ainsi moins de temps et ce serait plus démocratique, beaucoup plus clair et beaucoup plus transparent.