dans une base de données. Pour quoi faire et pour le compte de qui ? C'est la question, car nous savons qu'en matière d'espionnage, il y a parfois des liens de sous-traitance.
Madame la ministre déléguée, puisqu'il vous est possible à cette heure de parler, je saisis l'occasion qui m'est donnée de tenter une dernière fois avant la fin de nos travaux d'obtenir des réponses à quelques questions simples : l'État était-il au courant ? Si tel est le cas, c'est grave. Sinon, c'est tout aussi grave :