Je soutiens moi aussi cet amendement important qui, bien que nous n'examinions pas un projet de loi de finances, dit beaucoup sur la stabilité des engagements publics, sur leur durée et leur visibilité – dix ans – ainsi que sur la justice sociale, qui en est l'un des éléments puisqu'il évoque un « reste à charge financièrement soutenable pour les bénéficiaires les plus modestes », et ce sans limite. On peut donc parfaitement imaginer que les plus modestes auront peut-être un reste à charge de zéro.