En somme, un tel système, contrairement à tout ce que l'on peut en dire, est vertueux, et il le reste jusqu'à la charge de 2 UGB – unités de gros bétail – par hectare, grâce à la captation du carbone par les sols prairiaux – jusqu'à 2 200 kilogrammes alors que l'animal n'en émet que 979 par an.