Il invoquait un autre projet pour préparer l'après. Qu'en termes délicats ces choses-là étaient dites ! Un an plus tard, on constate la mise en avant des mêmes recettes libérales – le CAC 40 une fois de plus renfloué par l'argent public, les salariés restant à quai.
Pour que le monde d'après soit effectivement celui des jours heureux, il est temps d'oser : oser interdire les licenciements aux groupes bénéficiant de fonds publics, oser doter les salariés de nouveaux pouvoirs dans l'entreprise, oser s'appuyer sur leur intelligence pour construire l'avenir. Chers collègues, monsieur le ministre délégué, nous en sommes bien loin.