L'amendement concerne la limitation de la circulation de nos concitoyens. Réglementer, oui, mais interdire me semble aller bien au-delà du raisonnable.
Dans une période où l'état d'urgence sanitaire est censé avoir pris fin, s'il est possible d'interdire aujourd'hui et demain comme hier, les mesures restrictives ne disparaissent pas et nous restons dans un régime exorbitant du droit commun.