En effet, c'est le mot « interdire » qui pose problème. De facto, il signifie confiner. Vous sollicitez la possibilité de recourir à des mesures de freinage mais celles-ci ne sont pas forcément des mesures d'interdiction.
Nous parlons aux Français de la sortie de l'état d'urgence, de la possibilité de retrouver peu à peu une vie normale, mais vous vous réservez la faculté d'interdire toute circulation des personnes et des véhicules. Ce n'est pas cohérent.
Les mesures de freinage, oui ; les mesures d'interdiction stricte, non !