L'article pose plusieurs problèmes. Il est d'abord difficile de percevoir ce qu'il recouvre. Dans quel endroit logerez-vous une personne malade dont vous rejetez le choix de son lieu de quarantaine ? Comment vérifierez-vous cette dernière ?
Ce qui est particulièrement choquant, c'est que vous restreignez la liberté des personnes en les assignant à un endroit comme si une décision de justice l'avait ordonné. Vous songez aussi à les équiper d'un bracelet ? J'aimerais obtenir des explications complémentaires car je ne comprends pas le fonctionnement du dispositif. En outre, je ne vois pas comment le Conseil constitutionnel pourrait accepter une telle attaque contre les libertés, mais peut-être que je me trompe.