C'est ce que l'on appelle le pouvoir propre du président, mais naturellement, les parties ont la possibilité de solliciter ce dernier pour qu'il en use – par exemple pour demander que l'audience soit suspendue, même si seul le président peut prendre une telle décision.
Il est inutile d'alourdir le texte par des dispositions redondantes. Rien n'empêche l'avocat, l'avocat général ou l'avocat de la partie civile – n'oublions surtout pas ce dernier – de demander au président de faire usage de son pouvoir propre, par exemple en lui signalant l'émoi d'une partie qui justifierait que l'on interrompe immédiatement l'audience.
Je suis défavorable à ces amendements.