Le Gouvernement partage la position du rapporteur. Comme je l'ai indiqué à de nombreuses reprises, nous voulons éviter les interférences entre le procès judiciaire et le « procès médiatique », si j'ose dire. Or, si une révision était décidée, le calendrier des nouveaux procès et celui de la diffusion des procès précédents s'entrechoqueraient, ce que nous ne pouvons accepter. Avis tout à fait favorable.