Je suis tout à fait d'accord avec M. le rapporteur et M. le garde des sceaux. Au risque d'être un peu lourd – mais enfin, c'est peut-être ma marque de fabrique –, il faut respecter un certain droit à l'oubli et permettre à celui qui a refait sa vie de n'être pas confronté à son passé. J'en reviens ainsi à l'amendement que je présenterai tout à l'heure – vous comprenez où je veux en venir.