Ne me faites pas taire comme cela, ne faites pas ce geste avec moi, monsieur le garde des sceaux. Vous êtes ici devant les représentants du peuple, vous n'avez pas à faire un geste m'invitant à me taire.
Vous devez nous rendre des comptes, vous devez nous apporter des explications : nous essayons de transformer et d'améliorer un texte. Je suis courtois avec vous, je vous demande de l'être également, puisque je représente, que vous le vouliez ou non, un cinq cent soixante-dix-septième du peuple de France, qui mérite le même respect que les autres.