Je ne veux pas être redondant avec les interventions précédentes et me bornerai donc à souligner qu'il ne s'agit aucunement de restreindre le pouvoir de perquisitionner le bureau d'un parlementaire, mais d'offrir à ce dernier les mêmes garanties que celles dont jouissent les membres d'autres corps, comme les avocats ou les magistrats.