Par ma voix, ma famille politique, celle de la droite républicaine, réaffirme son attachement à la liberté de la presse, à la liberté de l'exercice du métier de journaliste. Nous avons eu l'occasion, depuis le début de la présente législature, de le dire à plusieurs reprises, par exemple au moment de l'examen ici, en première lecture, de la proposition de loi relative à la sécurité globale, lorsque nous avons défendu une version alternative à la rédaction de l'article 24, initialement proposée par les services du ministère de l'intérieur, comme au moment de l'examen de la proposition de loi, adoptée définitivement depuis, qui était alors « relative à la lutte contre les fausses informations » avant que son titre ne soit modifié.
Nous réaffirmons notre attachement viscéral à cette liberté de la presse qui fait partie des libertés fondamentales dans la République française.