Il ne faudrait pas que les longs échanges du garde des sceaux avec l'extrême droite finissent en syndrome de Stockholm. La pente est déjà prise si j'en juge d'après la suppression des réductions de peine automatiques, l'une des mesures du programme de Mme Le Pen en 2017. Si le garde des sceaux m'ignore et n'écoute pas mon propos, je ne dois pas m'en offusquer car je ne suis qu'un pauvre parlementaire, comme chacun sait.