Je parle pour la Normandie comme pour la Bretagne, mon cher collègue Benoît : Normands et Bretons, unis comme au front, disait-on ! Ces réalités sont à prendre en considération. C'est l'intérêt de cet amendement. Évitons encore une fois d'être trop administratifs, trop tatillons car je crains qu'en voulant faire mieux, nous risquions de faire moins bien.