Nous en avions déjà fait l'expérience auparavant, dans une plus large mesure, sous le régime de l'état d'urgence à proprement parler, au cours duquel le gouvernement socialiste de Manuel Valls avait fait procéder à plus de 4 900 perquisitions administratives – rien que ça !
On comprend bien en quoi ces mesures administratives sont porteuses d'un potentiel arbitraire, qui n'est pas la marque d'un État de droit ni d'une République qui s'assume comme garante des libertés fondamentales et individuelles. Je vous le dis, chers collègues :…