Comme j'ai déjà eu l'honneur de vous le dire, monsieur Bernalicis, si j'accepte bien sûr la critique – c'est l'essence même du débat démocratique –, en revanche, le nihilisme m'est insupportable.
Vous êtes le premier à vous lever pour réagir : « Que faites-vous ? », « Vous n'avez pas fait ceci ! », « Vous auriez dû faire cela ! », « Y a qu'à, faut qu'on ! ». Or voilà que vous acceptez l'idée que des individus, considérés comme étant encore dangereux, puissent circuler tranquillement parmi nous. C'est totalement irresponsable et indigne.