Il se fonde sur l'article 58, à la suite de la mise en cause personnelle du ministre. De manière sans doute subtile, celui-ci fait de nous les alliés des personnes dangereuses, de tous ceux qui pourraient s'en prendre à nos concitoyens. Ça, c'est un procédé politique abject.
Monsieur le garde des sceaux, alors que les mesures de sûreté ne sont pas votées et ne sont donc pas en vigueur, existe-t-il aujourd'hui un moyen d'assurer un suivi des personnes dangereuses ? Comment les suivez-vous ?
Vous êtes en train de nous dire que l'on ne peut rien faire, qu'ils sont dans la nature. Quel constat d'échec ! À travers ce raisonnement par l'absurde, il apparaît clairement que l'on sait évidemment suivre ces individus dangereux.