Déposé par notre collègue Marine Brenier, il s'inscrit dans la lignée des précédents, en ce qu'il vise à étendre la durée maximale de l'interdiction à six mois, dont deux mois précédant l'événement concerné. Cela me semble constituer une piste intéressante, car, comme notre collègue nous l'a expliqué, une personne projetant un acte terroriste peut effectuer des repérages en amont de la manifestation visée.