Permettez-moi tout d'abord une remarque. La grandeur de la Révolution, en termes probatoires, j'en doute un peu ! J'occupe de temps en temps le bureau de Danton et j'en ai encore des frayeurs. Mais peu importe.
Monsieur Diard, je suis totalement défavorable à votre amendement, pour les raisons qui ont déjà été explicitées. Compte tenu de la grande sympathie que j'ai pour vous, et que je ne cache pas, je voudrais vous dire que l'on ne dit plus « effets de manche », comme vous l'avez fait à deux reprises, mais « effets de manchette ».